L’introduction de l’arabe comme langue vivante dans l’épreuve du Baccalauréat a surpris plus d’un. Il n’a pas été reçu positivement par l’ensemble de la population. Pour l’année 2017, l’examen bacc arabe langue vivante 1 Paris est prévue.

Actualité sur l’arabe comme langue vivante

C’est le ministre de l’éducation, Najat Valleud-Belkacem qui a eu la bonne idée d’intégrer l’apprentissage de la langue arabe dans l’éducation nationale en France. La plupart de la population n’a pas apprécié cette décision. Des pétitions ont même été signées pour aller contre cette décision. C’est le mardi 31 mai 2016 que le ministre a déclaré sur BFM TV que des réformes éducatives ont été fait. Il y a alors l’apprentissage de la langue arabe dès le CP comme d’autres langues vivantes. Il ne s’agit pas d’imposer l’apprentissage de la langue arabe mais de souhaiter que la langue vivante arabe soit une des propositions fournit pour les élèves. La polémique là-dessus est injustifiée étant donné que 392 écoles primaires en France proposent déjà l’arabe comme langue vivante.

Arabe comme langue vivante, le cas de Paris

A Paris plus qu’ailleurs, la réforme est sollicitée. L’apprentissage de la langue vivante est une ouverture au monde. Bien plus qu’un programme d’enseignement, ceci véhicule une bonne chose car elle permet de réduite l’hostilité qui existe actuellement. Hostilité d’ailleurs qui incite à la violence en allant jusqu’à différents attentats qui ont eu lieu récemment. Apprendre la langue arabe est même une opportunité étant donné qu’il s’agit d’une des langues les plus utilisés dans le monde. Il fait même partie des langues officielles de l’ONU. Les élèves sauront également qu’il y a une différence entre la langue arabe la religion musulmane. En effet, la langue arabe est une culture et le musulman une religion. Car malheureusement, l’arabe est de ce fait devenu une langue haït par la population.

Examen Bacc arabe langue vivante 1 Paris

Certes, l’idée est impressionnante du fait de la difficulté à apprendre l’arabe. Il n’y pas d’inquiétude à avoir car la difficulté de la langue est proportionnel à la capacité national des étudiants. Pour l’épreuve orale par exemple, l’examinateur est incité à mettre le candidat en confiance sans le déstabiliser. Il établit son évaluation à partir des fiches d’évaluation présentée dans les annexes qui correspondent la langue. Pendant la phase de prise de parole en continu, l’examinateur doit laisser le candidat aller jusqu’au bout même si le candidat hésite ou a du mal à s’exprimer.